PODCAST « 2040 J’Y VAIS ! »

Le podcast « 2040, j’y vais » est un lieu pour écouter le bruit de la forêt qui pousse, plutôt que celui – très documenté – de l’arbre qui tombe. Le podcast tend le micro à des personnes inspirantes qui, par leur posture, leur vision, leurs engagements, contribuent à la construction de la Suisse Romande de demain. Nous donnons à entendre les analyses, les projets et idées qui servent ce nouveau paradigme d’une croissance finie dans un monde fini et qui parlent de l’interdépendance de l’humain avec le reste du vivant.


« 2040 j’y vais !» est le podcast des optimistes lucides : la lucidité, pour poser un diagnostic clair et rigoureux de la situation actuelle et l’optimisme, pour soutenir l’élan collectif d’entreprendre des changements.
Alors…. Bienvenue en 2040 !

BLOG

Vous souhaitez en savoir plus sur les outils et les techniques utilisées au Hub pour soutenir le changement ? Vous êtes curieux-se de savoir comment l’imaginaire peut fertiliser les possibles ? Vous vous demandez à quoi ressemblerait un monde où nous reconnaitrions notre interdépendance au vivant ? Vous aimeriez ensemencer votre esprit avec des récits de la Suisse Romande en 2040 ? Alors n’hésitez pas à consulter notre rubrique blog, dans laquelle nous partageons des réflexions et des récits autour de nos activités.

Blog

Le monde est le reflet de ce que nous croyons.

Aujourd’hui la majorité des histoires qui dessinent notre avenir sont soit dystopiques, soit empreintes de privations et d’austérité. Pourtant des dizaines d’autres histoires sont possibles. Il ne tient qu’à nous de les inventer. Et des centaines de personnes en Suisse s’engagent déjà aujourd’hui dans des projets qui définissent les contours d’une société durable, dans laquelle il fait bon vivre. Alors, si nous nous mettions toutes et tous à penser ces futurs possibles ?

Blog

Et vous, comment activez-vous votre papillon?

Que se cache-t-il derrière le papillon du logo du Hub des possibles ? Pourquoi a-t-il été choisi ?
Nous vous contons les raisons de ce choix à la manière d’Edmond Rostand…